Saturday, September 30, 2006

18. Mysteries

Comme une source coulante qui jaillis depuis un passé confus, peut-être inexistent. Comme une immage floue d'un autre temps. Comme une lamentation poignante devant le mystère.
Mysteries de Beth Gibbons: l'ombre d'une ombre.

Friday, September 29, 2006

17. Does Caroline Know?

Une très belle chanson de Talk Talk à mi-chemin entre le jazz, le funky, le pop et le rock progressive: Does Caroline Know?. Une merveilleuse musique pour dancer et pour flotter.
Elle est jouée dans le Montreux Jazz Festival le 11 July 1986.

Sunday, September 24, 2006

16. New Grass

Hierba nueva. Nuevos pastos donde pacer. Renovación. Nuevos horizontes. Otros valles. Otras riberas. El fulgor de otros cuerpos: ninfas confundidas entre las sombras de otros bosques esperando el sonido de la flauta.
Alfombras de cesped nuevo donde otras musas yacerán inspirando nuevas melodías, nuevos poemas, nuevas obras a nuevos enamorados:


Es la orgía del cambio perpetuo,
es la bacanal de la vida,
es el frenesí de los sentimientos,
es el banquete de los sentidos
devorados a sí mismos.
Es la esperanza temeraria
que nunca niega
porque el sí
es la vida.
Son tus ojos en otros ojos,
es mi corazón en otro sueño,
es mi despertar tendido
en una hierba nueva
que huele a promesa.
Y yo digo: sí,
otra vez,
siempre,
sí.

Sunday, September 10, 2006

15. Très, très personnel

Un message à travers d'une voix qui me rappelle la vôtre. C'est une voix chaude et légère, délicate et caressante qui se glisse dans l'air comme une promesse d'amour.
Vous ne pouvez pas éviter que je sente comme ça.
En écoutant François Hardy, c'est vous qui j'écoute! C'est votre image qui pénètre mon coeur dans les bras de la musique et de la voix de cette muse de la Chanson...

...Et je me sens bien, très bien

Le silence battu par une voix semblable à la votre, comme un philtre magique sonore qui exorcise le silence. Une muse à l'aide d'un amoureux d'une autre muse, c'est une bénie compassion.

Bon, rien de plus. Écoutons ce message personnel

Thursday, September 07, 2006

14


Quel difficile est dire adieux aux rêves!
Dans l'ombres, j'y suis. Et non obstant la manque de clairté, la manque d'illusion, la manque d'une réponse a ce cri angoissant qui m'étouffe, j'ai de continuer... vivant.
Et peut-être vous écrivant pour vous raconter mes troubles de coeur et d'esprit, pour sangloter devant votre coeur fermé, pour partager mes paroles avec votre silence.

C'est dommage que votre silence soit la seule réponse. Le silence en noye plus que l'eau.
J'arrive à penser que vous ne comprennez rien de tout, et ça m'écrase.

Je suis conscient de mon insurmontable mediocrité, mais elle est sincère. J'ai le courage pour vivre ma mediocrité sans complexes, je veux être celui qui je suis. Bien que j'aimerais pouvoir créer tout ça que je suis capable de sentir, et même à la mesure de mon ardent sentiment.
Comme vous le savez déjà, je voudrais vous dédier toute la beauté que mon coeur et mon esprit sont capables de reconnaître.
Je sens l'or, les perles et les pierres precieuses qui peuplent le monde des arts comme si elles faisaient partie de moi-même mais... je ne suis capable de faire que de laiton et de bisuterie de fantaisie. Au moins c'est mienne!

Vous vous rendez compte que cette image que je crée de vous -que je viens de créer depuis il y a trois années déjà- en mes écrits, mes poèmes, mes pensées, mes fictions,... cette image demeurera, comme celle d'une peinture -ou meilleur encore-, inálterable à travers du temps?

C'est la magie des mots, une fois écrites ils sont éternels.

Je vous fais un cadeau qu'il temps ne pourra plus déchirer. Vous pourrez lire dans dix ou vingt ans celle que vous étiez pour un homme amoureux de vous et vous serez là, sans vieillir, sans rides, toute fraîche, toute jeune, toute vive, pleine du même charme, de la même fascination, de la même beauté incorruptible. En fin de compte n'est pas un mauvais cadeau.
Je devrais être heureux seulement pour ça. J'y le suis.

Ah, mon rêve, quel difficile est vous dire adieux!